Le Département du Finistère

Tourisme

Près de 20 000 emplois touristiques sont proposés pendant les mois de haute saison. En moyenne annuelle, les activités touristiques emploient 12 900 personnes, soit 5% de l’emploi total.  

• 5.1 Millions de touristes
• 29 millions de nuitées annuelles
• 8ème département français en termes de nuitées
• 82% de clientèle françaises, 18% de clientèle étrangères
• 45.70 € de dépenses moyennes par jour
• 1.3 Milliards d’euros de dépenses touristiques sur le territoire

Commerce

Trois millions de tonnes de marchandises transitent par le port de commerce de Brest chaque année.

6 752 commerces  et des marques réputées à l’international (Armor Lux, Guy Cotten, Petit navire, comptoir irlandais, B and B hôtels…)

Industrie et artisanat

• 46 600 personnes en 2013 soit 13,1 % de l’ensemble des actifs (14,0 % en Bretagne et 12,8 % en France).
• 6,7 % de la population active.

Emploi Public

• Le Finistère possède le taux d’emploi public le plus élevé de Bretagne.
• 1 emploi sur 4 relève des trois fonctions publiques (État, territoriale, hospitalière).
• Le principal employeur public est la Défense nationale -> 17 000 agents.
• Les autres employeurs importants dans ce domaine sont le Centre hospitalier régional universitaire de Brest, le Département du Finistère, la métropole brestoise, les agglomérations et les collectivités territoriales, pour lesquelles un nombre important de départs en retraites sont attendus dans les années à venir.

Economie solidaire et sociale

• Elle représente 15,7% des effectifs salariés. On y retrouve aussi bien les structures que les groupes mutualistes
• L’ESS en Finistère c’est, 3750 établissements – 43 300 salariés
• 11e département français pour le poids de l’ESS dans l’économie.

LA MER A 360°

En Finistère, la mer fait vivre près de 40 000 personnes sur les 65 000 emplois maritimes de Bretagne. Elle représente le moteur de nombreux secteurs : tourisme, produits de la mer, construction navale, transport… mais aussi de domaines émergents comme les filières algues ou énergies marines renouvelables. La mer est source d’emplois, aujourd’hui et demain. C’est ce qu’on appelle la « croissance bleue »

Nautisme

Le Finistère est le 1er département breton en nombre d’entreprises et de prestataires d’activités. Cela représente près de 300 000 emplois.

• 244 structures de pratiques nautiques
• 300 000 participants et 1.5 millions de séances de pratiques nautiques encadrées chaque année
• 163 ports et zones de mouillage offrant 28 000 anneaux destinés à la plaisance
• 483 entreprises ayant toute ou partie de leur activité dédiée au nautisme
  
• 335 millions d’euros de chiffre d’affaires

Pêche et algo-culture

Le Finistère est le 1er département Français pour la pêche fraîche.

Les emplois salariés de la pêche en mer se concentrent sur Concarneau, Roscoff et surtout Le Guilvinec, siège de la première halle à marée de France.

• 1er port goémonier européen à Lanildut avec 30 000 tonnes d’algues débarquées par an 
• 11 500 emplois – 15 ports (où travaillent 2600 pêcheurs, répartis sur 600 navires) dont 8 dotés d’une halle à marée –
• Un syndicat mixte des ports de Cornouaille
• Un pêcheur breton sur deux est finistérien.
• 70 000 tonnes d’algues récoltées par an – 90% de la production française

Réparation navale civile et militaire

Le secteur de la Défense est le premier employeur du Finistère. À Brest, la seconde base navale de la Marine Nationale française génère 17 000 emplois directs. Les 2800 salariés de Naval Group, premier employeur industriel de la ville, assurent leur entretien ainsi que la maintenance des bateaux de la Marine Nationale. Ce leader européen du naval de défense conçoit et réalise aussi des navires. 

Le port de Brest forme le premier pôle industriel de réparation navale civile et militaire en France.

Energies marines   

En Finistère, la mer est au cœur du défi de la transition énergétique.  Le Finistère accueille de nombreux projets pilotes d’utilisation de l’énergie hydrolienne. D’autres  voies d’énergies marines renouvelables sont étudiées à Brest, qui concentre 50% de la recherche marine en Europe. Sur le Port de Brest, vont se développer dans les prochaines années, des sites d’exploitation de ces énergies du futur, et gisement d’emplois. Les entreprises de biotechnologies, qui travaillent aux nouveaux produits issus de la mer (molécules, aliments, cosmétiques…), sont également en plein essor.  Avec ses 1 200 km de côtes, le Finistère est notamment le plus grand gisement d’algues de France, représentant  90% de la production française. Cette ressource naturelle forme un secteur en pleine expansion économique dans l’alimentation, la cosmétique ou la santé.

Sciences et techniques de la mer, biosciences & énergies renouvelables 

• Leader européen dans les sciences et techniques de la mer. Applications dans les secteurs de la santé, de la cosmétique et de l’agro-alimentaire.

L'AGRICULTURE & L'AGRO-INDUSTRIE

La surface agricole utilisée par les exploitations finistériennes couvre 56 % du département. Elles sont principalement orientées vers :

• L’élevage (64 %) avec au premier rang, l’activité laitière (27 % des exploitations en 2010)
• Les élevages hors-sol (élevage dont la nourriture ne provient pas de l’exploitation elle-même) (représente 23 %). 1/5 du cheptel porcin français est localisé dans le Finistère (1er rang national).
• Le département se situe aussi dans les premières places pour la production de volaille et de lait. (3ème pour la volaille et 5ème pour le lait)
• La culture légumière (tomates, chou-fleur, endives, artichauts et échalotes) est également bien développée sur la côte nord du département.
• Les produits made In Finistère : Fraise de Plougastel, plans de pommes de terre Germicopa

L’ACCESSIBILITÉ

• Aéroport Brest Bretagne à Guipavas : 1er aéroport de Bretagne avec 1 million de passagers
• Depuis le 1er juillet 2017, Quimper & Brest à 3h30 de Paris en TGV
• La N12 reliant Rennes à Brest, la N164 traversant la Bretagne par le centre et la N165 reliant Nantes à Brest en passant par Quimper sont de belles « double voies » gratuites, limitées à 110 km/h, avec aires de repos et stations-services.
• Accessibilité numérique : 100 % des Finistériens ont accès au haut débit (>2M bits/s).